Notre étude et nos recommandations invitent nos futurs responsables de l’Etat belge aux niveaux régional, fédéral et européen, à trouver une solution durable, raisonnable et digne d’un Etat de droit à la situation des femmes, hommes et enfants sans-papiers qui vivent ici depuis tant d’années. Plusieurs éléments politiques récents nous semblent encourageants : la signature du « Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières » fin 2018, le retrait du projet de loi sur les « visites domiciliaires », deux avis du Conseil d’état sur les « quotas à l’office des étrangers » et sur la suspension de l’enfermement des enfants de sans-papiers, et la position des partenaires sociaux au sein du Conseil économique et social bruxellois et d’Actiris, indiquent une volonté de changement de cap de politique migratoire dont la Coordination se félicite ici. Cette prise de conscience et la volonté politique doivent davantage se développer et être plus manifestes encore. La Belgique doit montrer l’exemple à l’Europe, en faisant l’expérience d’une autre politique d’asile et migration, en prenant en compte les aspects positifs des migrations, contrairement aux politiques populistes qui fracturent la société.
La Dignité OU La MORT : Rencontre avec Norman Ajari
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Samedi 13 avril 2019 de 19:00 à 23:00
@ Belgium KitchenRue Ulens 40, Région de Bruxelles-Capitale
Les ‘Mères d’Europe’ demandent au gouvernement fédéral de rapatrier immédiatement les enfants belges des camps kurdes
Les ‘Mères d’Europe’ mèneront une action paisible proche de la Gare Centrale. Elles s’ exprimeront aux cliquetis de pot de 2 avril jusqu’au 5 avril ’19, de 16.30 h à 18.30 h. Les ‘Mères d’Europe’ demandent au gouvernement fédéral de rapatrier immédiatement les enfants belges des camps kurdes et de poursuivre les combattants de EI en Belgique. Parmi les enfants sont des orphelins, des malades et des morts à déplorer. Ils souffrent tous de privation, de malnutrition et d’ insécurité. Ces enfants ne sont pas tenus à mourir là-bas parce que le gouvernement refuse de juger leurs parents ici. Ne rien faire pour eux revient à une omission volontaire. RAMENÉ-LES VITE !
https://www.facebook.com/events/391669888054946/?active_tab=about
POUR UN GOUVERNEMENT QUI RÉGULARISERA LES SANS-PAPIERS
MANIFESTATION NATIONALE
POUR UN GOUVERNEMENT QUI RÉGULARISERA LES SANS-PAPIERS
La Coordination des sans-papiers de Belgique réclamera les droits des sans-papiers afin qu’ils puissent reconquérir leur dignité après avoir tout perdu. Elle mettra la question sur la table, et ce, dans tous les débats électoraux à venir, la question de la Régularisation immédiate des sans-papiers en Belgique.
Pour cela, la Coordination des sans-papiers de Belgique appelle l’ensemble des sans-papiers tapis dans l’ombre et tous nos soutiens pour alerter sur notre situation et mobiliser le plus grand nombre citoyen.ne.s à venir exiger des engagements solennels des partis politiques sur l’intégration des sans-papiers dans l’Etat de droit belge.
Veillée à l’ambassade de Nouvelle-Zélande pour les victimes des attentats
Où mène le racisme ‘décomplexé’ de la sphère politico-médiatique
Après Utøya en Norvège, Christchurch, en Nouvelle Zélande.
Dans les deux cas, la haine. La haine à l’état pur.
Dans son expression la plus brutale, la plus violente, la plus viscérale.
Le calvaire de Fayçal Cheffou, accusé à tort d’être « l’homme au chapeau » des attentats de Bruxelles
Pendant quatre jours, ce Bruxellois a été considéré comme l’un des membres du commando de l’aéroport de Zaventem. Il raconte comment cette erreur a bouleversé sa vie.
Mawda : « L’État porte la responsabilité morale de ce qui s’est passé »
Selma Benkhelifa évoque un « crime d’État » qui « s’inscrit dans le continuum d’une politique migratoire qui devait conduire, un jour ou l’autre, à ce type de tragédie ». Elle veut secouer les consciences, appeler à un débat de société : « La mort par balle d’une enfant de 2 ans et les suspicions de dissimulations qui ont suivi l’homicide auraient dû déboucher sur un sentiment général d’indignation. Mais on n’entend que des murmures, là où il faudrait des cris d’effroi. »
« Voyous chavistes » contre « société civile » : racisme et mépris de classe des médias occidentaux sur le Venezuela
1. Résumé.
Aujourd’hui, les Vénézuéliens luttent contre l’implosion de leur économie et leurs voisins latino-américains, à droite, agitent des menaces de sanctions contre le » socialisme » de l’actuel président Maduro. Depuis l’élection de Chavez en 1998, le pays a connu une période d’intenses conflits de classe et de races. Chavez, premier dirigeant non blanc de l’histoire du pays majoritairement non blanc, a été réélu trois fois et a mené un mouvement populaire contre l’élite blanche retranchée dans ses privilèges. Depuis 1998, le Venezuela est devenu un lieu de lutte permanente entre les classes moyennes et supérieures et les masses subalternes dont Chavez tire son soutien. Le pays a ainsi suscité un grand intérêt médiatique dans le monde entier, tant à gauche qu’à droite.
BlackFace et déguisements du KKK dans le folklore belge
Au Carnaval d’Alost, des déguisements du Ku Klux Klan ne passent pas
« Il est évident que l’extrême-droite ne se sent en aucun cas menacée par ces ‘moqueries' ». | © BELGA PHOTO JONAS ROOSENS
Déjà épinglé pour des dérives antisémites, le Carnaval d’Alost est également critiqué par la Nouvelle Voie Anticoloniale pour la présence d’un char de suprémacistes blancs qui se prennent notamment en photo avec le leader d’extrême droite de Forza Ninove, Guy D’haeseleer.