#Mawda, un petit point sur la carte. Mettre fin à cette machine de mort sur nos routes, autoroutes, dans les ports, le long des voies de chemins de fer, dans la Manche, by any means necessary, par les moyens d’une commission d’enquête parlementaire ou par d’autres moyens. Nous demandons aux parlementaires de bien regarder cette carte en face, transmise par Frances Timberlake, de mesurer l’urgence et de prendre leurs responsabilités.
Documenter les plis de COVID-19. Quelques notes à propos du coronavirus.
Ce texte est un premier relevé très partiel et en cours, vu de Belgique, de la pandémie de coronavirus, des affects qu’elle charrie et de ce qui a été éprouvé dans nos modes d’existences. Contacts : martin.vanderelst@uclouvain.be, Elsa.Roland@ulb.ac.be, David.Jamar@umons.ac.be
Analyse partielle d’un processus en cours
Documenter les plis de COVID-19.
Quelques notes à propos du coronavirus – 15 avril 2020
Préambule. Ce texte est un premier relevé très partiel et en cours, vu de Belgique, de la pandémie de coronavirus, des affects qu’elle charrie et de ce qui a été éprouvé dans nos modes d’existences. Nous avons besoin de documenter ce qui arrive, ce qui arrive de manière radicalement divergente selon les milieux touchés. A partir de ces documents, il s’agirait de formuler des doléances[1] susceptibles de renforcer nos capacités d’action sur le cours des choses, en ce compris le relais d’articulations politiques mais aussi de plaintes éventuellement juridiques. Certains éléments seront, pour le meilleur ou pour le pire, démentis par la suite des événements. Il n’en reste pas moins que covid-19 fait résonner les capacités différenciées de réponses en situation. En d’autres mots se rejoue aussi la question des « responsabilités » de situations en situations. Ce texte, parmi d’autres, devrait pouvoir aussi cultiver des idées de luttes de refus et/ou propositionnelles. Sa diffusion voudrait avoir pour effet, de croiser et de multiplier les comptes rendus. Ce texte appelle donc de nombreux prolongements et actualisations à venir. Nous y travaillons à partir de nos propres relais ; nous travaillerons les relais de ce qui nous parviendrait.
Une première partie tente de caractériser l’être COVID-19 et les affects d’insensibilité qui en favorisent l’expansion. Les pénalistes diraient qu’il s’agit là d’un « contexte », non pas extérieur, mais informant ce qui traverse sur des modes divers les situations et leurs appréciations.
Une deuxième partie entreprend un premier tour de ces situations, tentant à chaque fois d’en ébaucher les documentations et de saisir ce que, de cette documentation, il y aurait moyen de faire afin de relayer les plaintes (et les quelques propositions) qui en émergent déjà.
Contacts : martin.vanderelst@uclouvain.be, Elsa.Roland@ulb.ac.be, David.Jamar@umons.ac.be [2]
Table des matières
RÉGULARISATION DE TOUT LES SANS PAPIERS
TOUS ENSEMBLE POUR LA RÉGULARISATION
DES SANS PAPIERS
#regularisationpourtous
« Roms et riverains : une politique municipale de la race
Un « régime néolibéral de la race » est appliqué aux Roms par une gauche qui a trahi ses engagements et ses militants. C’est la thèse qui est défendue à quatre mains par le politologue Eric Fassin, les journalistes Carine Fouteau (Mediapart) et Aurélie Windels (Cette France-là) et le militant associatif Serge Guichard dans un livre intitulé « Roms et Riverains – Une politique municipale de la race », publié chez La fabrique, la maison d’édition d’Eric Hazan.
20e anniversaire de la rébellion du Chiapas
Jérôme Baschet : « Le goût de la liberté des zapatistes »
Historien médiéviste reconnu internationalement, Jérôme Baschet est sans doute aujourd’hui l’observateur francophone le plus proche de la rébellion des indigènes zapatistes du Sud-Est mexicain. Enseignant à l’Ecole des hautes études en sciences sociales (Paris) et à l’Université autonome du Chiapas (San Cristobal de Las Casas) depuis plus de quinze ans, il a consacré au mouvement zapatiste de multiples travaux, dont le remarqué La Rébellion zapatiste. Insurrection indienne et résistance planétaire (Flammarion, 2005). En 2013, il a préfacé l’ouvrage Eux et Nous (Editions de l’Escargot) qui publie des textes récents des sous-commandants Marcos et Moisés, porte-parole de la rébellion. Sort de presse en ce mois de janvier 2014, son nouveau livre, largement fondé sur l’inspiration zapatiste, Adieux au capitalisme. Autonomie, société du bien vivre et multiplicité des mondes (La Découverte).
Les olympiades stibiennes ou les jeux de la désobéissanc
« Mobib, portiques, publicité, surveillance électronique, contrôleurs… Les investissements de la STIB, humains et technologiques, ne doivent pas nous faire oublier que la STIB est avant tout un service public qui doit permettre à tous de se déplacer librement. » C’est ce que nous avons pu lire sur le prospectus du collectif homostibien, venu présenter, lundi 25 février au Phare, une action critiquant la politique de la société de transport. Le collectif dénonce des contrôles de plus en plus courants, des tarifs qui s’envolent et des mesures sécuritaires (caméras, police,…) qui mettent à mal l’accessibilité aux transports et la convivialité.
Ces villes transportées par la gratuité
Ces villes transportées par la gratuité
Le mois dernier, l’hebdomadaire Marianne réalisait une enquête sur les villes françaises ayant opté pour la gratuité des transports en commun. Loin des idées reçues, le passage à la gratuité montre de nombreux avantages.
La gratuité du transport public à Tallinn fait baisser le trafic automobile de 10%
Participez
Jeux Olympiques : déjouons la STIB
Mobib, portiques, publicité, surveillance électronique, contrôleurs… Les investissements de la STIB, humains et technologiques, ne doivent pas nous faire oublier que la STIB est avant tout un service public qui doit permettre à tous de se déplacer librement. Ces J.O. STIB sont un championnat comico-sportif articulé autour de 5 thèmes : Contrôle, Tarifs, Portiques, Surveillance, Publicité. Infos : homostibien@riseup.net.
Ces villes qui expérimentent les services publics gratuits
Par Anthony Laurent (6 décembre 2012)
Les expériences de gratuité se multiplient dans les services publics locaux. Transports en commun totalement gratuits à Aubagne ou Châteauroux, premiers litres d’eau gratuits dans des communes de l’Essonne ou des Bouches-du Rhône… A qui profite cette gratuité ? Comment est-elle financée ? Implique-t-elle une baisse de la qualité du service ? Incarne-t-elle une alternative face au dogme de la « consommation marchande » ? Réponses par les faits.