Retour sur la sinistre intervention de Christine Angot, commentant le livre de son comparse Franz-Olivier Giesbert, lors de l’émission ONPC du samedi 01er juin dernier.
Voici les propos en cause : « Le but avec les juifs pendant la guerre, ça a bien été de les exterminer, de les tuer, et ça introduit une différence fondamentale, alors qu’on veut confondre avec par exemple l’esclavage et l’esclavage des Noirs envoyés aux États-Unis ou ailleurs, et où c’était exactement le contraire. C’est-à-dire l’idée c’était qu’ils soient en pleine forme, en bonne santé pour pouvoir les vendre et pour qu’ils soient commercialisables. Donc non, ce n’est pas vrai que les traumatismes sont les mêmes, que les souffrances infligées aux peuples sont les mêmes ».
J’utilise le terme « comparse » à propos de Giesbert puisque lors de cet indécent verbiage d’Angot – dont aucun participant sur le plateau ne s’est démarqué (!) – celui-là n’a manifesté aucune réserve. Que du contraire, opinant de la tête il acquiesçait sans la moindre retenue, en rajoutant une couche quant au maintien « en bonne santé » des esclaves noirs « pour qu’ils travaillent un maximum ».