La vieille Europe applique la politique migratoire de fermeture des frontières de l’extrême-droite, alors que les études indiquent que ses économies ont besoin de les ouvrir
15 janvier par Fátima Martín
La liberté, la justice et l'égalité, par tous les moyens nécessaires ! Malcolm X
15 janvier par Fátima Martín
Beaufs et Fanfares
Introduction
Le 11/12 janvier dernier, des camarades français.e.s réfléchissaient aux étroits chemins à emprunter pour allier les beaufs et les barbares (aka Bourgs et Tours). Au même moment, le film « En Fanfare » dépassait les 2.000.000 d’entrées. Quel rapport !?
Beaufs et Barbares (1) , c’est le titre du livre de Houria Bouteldja et dans le même temps, le nom donné à un projet politique « révolutionnaire » visant la création d’un bloc politique entre blanc.he.s et Non Blanc.he.s des « classes populaires (2) ». Dans la France 2025, ce projet politique relève quasi de la science-fiction. De son côté, le film « En Fanfare » a beau être une fiction, il décrit et défend une alliance bien réelle entre les beaufs Blancs et la Blanche bourgeoisie.
Depuis le début de la guerre à Gaza, le patrimoine culturel palestinien a subi des destructions massives en raison des frappes des forces militaires israéliennes ciblant des sites anciens, des bâtiments historiques et religieux, des musées, des institutions culturelles et académiques, des édifices publics et des infrastructures essentielles. De nombreux sites archéologiques, tous les musées, les centres historiques, ainsi que des hôpitaux, des bibliothèques, des cimetières et des milliers d’objets archéologiques et culturels ont été endommagés ou détruits.
Cet article propose un aperçu des politiques de préservation du patrimoine culturel en Palestine et des protections juridiques assurées par le droit humanitaire international, tout en explorant le rôle de l’Unesco et d’autres organisations dans la protection de ce patrimoine. Il présente également une évaluation préliminaire des dommages infligés aux sites culturels gazaouis jusqu’au début de l’année 2024, formule des recommandations pour une évaluation complète des pertes et propose des mécanismes de suivi juridique ainsi qu’un cadre pour la mise en place de plans et de programmes de récupération et de reconstruction.
La résistance, avec le plus grand honneur, le plus grand dévouement et le plus grand amour de la Palestine, a lutté sans relâche pour défendre le peuple palestinien – et l’humanité toute entière — contre les forces sionistes/impérialistes génocidaires.
Face à l’horreur croissante de la montée de l’extrême droite et de la normalisation des idées de suprématie blanche dans le discours politique, notamment au sein du #MR, nous, militants antiracistes, affirmons haut et fort notre opposition à ces idéologies nauséabondes et dangereuses.
Nous dénonçons vigoureusement la plainte déposée par Nadia Geerts contre Mouhad, un militant antiraciste qui n’a fait que proclamer une vérité : « J’emmerde la suprématie blanche ».
Pendant longtemps, les historiens néerlandais ont considéré a priori que l’importance de l’esclavage dans l’Atlantique pour l’économie des Pays-Bas avait été marginale. Dans un article publié le 26 juin 2019 dans la revue d’histoire économique et sociale néerlando-flamande TSEG / Low Countries Journal of Social and Economic History, les auteurs montrent que cette supposition est erronée.
En début d’automne, l’aviation israélienne dévastait un souk vieux de 400 ans dans la ville de Nabatiyé dont l’histoire remonte aux ères ottomane et mamelouke. Qui l’a su ?
Un peu plus tard, vers novembre, des frappes israéliennes ont détruit un mur entier de la citadelle de Toron, une forteresse bâtie au XIIème siècle au temps des croisés dans le sud Liban. Etonnant. Même la mémoire chrétienne n’est pas épargnée. La chrétienté arabe plus exactement dont on prétend se soucier quand elle est supposée menacée par les hordes musulmanes environnantes mais jamais quand elle l’est, de fait, par les Européens. En effet, combien d’églises, de monastères, de vitraux ont été détruits en Irak, Syrie, Palestine, Liban par les expéditions punitives américaines, israéliennes mais aussi françaises ? Qui a pleuré l’église de Saint Porphyre à Gaza détruite en 2023 par une frappe israélienne ? Qui a pleuré la destruction de la grande mosquée de Gaza, construite à partir d’une église du temps des croisés, elle-même construite sur un lieu saint proto chrétien, faisant de ce site un lieu d’une intense densité spirituelle au moins deux fois millénaire, puisque sous l’islam, le christianisme croisé, sous le christianisme croisé, le christianisme originel, et sous le christianisme originel, les traces d’un temple d’une religion antique. Tout cela sur le site d’un Gaza, uniquement assimilé à une terre de dévastation, jamais à une terre d’histoire.