Le « Mouvement des demandeurs d’asile palestiniens » organise une manifestation ce mardi 12 novembre de 13h à 15h devant le CGRA (40 place Victor Horta 1060 Saint-Gilles)
Voici leurs demandes:
La liberté, la justice et l'égalité, par tous les moyens nécessaires ! Malcolm X
Voici leurs demandes:
On a tous entendu parler à un moment où à un autre d’organisations comme l’AIPAC ou le TIP, sans savoir très bien quel était leur rôle précis. Après avoir mis l’accent en 2016 ? sur les pratiques mafieuses que certains groupes sionistes utilisent en Angleterre1, Al-Jazzera a réalisé un travail exceptionnel en s’infiltrant au sein des organisation sionistes présentes aux EEUU afin de présenter au monde quel est leur modus operandi.
Tout au long des quatre épisodes qui comporte ce reportage, on apprend que :
-le BDS est un outil redoutable qui fait trembler l’entité sioniste.
-pour s’opposer aux sympathisants du BDS ce réseau de lobbying utilise de méthodes criminelles (calomnie, menaces, insultes).
-un des buts du lobby israélien aux EEUU est de faire en sorte que les EEUU soutiennent inconditionnellement l’état colonial israélien (en lui fournissant par exemple de « l’aide militaire» ,qui actuellement est de 38 Billions de dollars).
Les convictions pro-palestiniennes de Jean-Luc Godard n’ont cessé d’accompagner son travail cinématographique, ce qui a valu au réalisateur d’être souvent malmené par la réaction. Dans ce texte de 1970, à l’époque la plus militante de l’oeuvre godardienne, il est question de la production d’un film sur les combattants palestiniens dans un camp d’Amman en Jordanie, initialement intitulé Jusqu’à la victoire. Si le « groupe Dziga Vertov » n’a pas exploité ses images, Godard et Anne-Marie Miéville en ont proposé un montage dans le puissant Ici et ailleurs. Ce dernier film a ceci de singulier qu’il interroge la possibilité même de montrer la révolution palestinienne ; il pose le problème du montage, des effets idéologiques des appareils de prise de vue ; il questionne ce qu’est « faire un film politique », ce qu’est un rapport d’images politique. Le texte republié ici a ceci de fascinant qu’il pose une grande partie de ces enjeux, tout en proposant une lecture anti-impérialiste du cinéma et des circuits de diffusion. « Il faut étudier et enquêter, enregistrer cette enquête et cette étude, ensuite montrer le résultat (le montage) à d’autre combattants. Montrer le combat des fedayin à leurs frères arabes exploités par les patrons dans les usines en France. Montrer les miliciennes du Fath à leurs sœurs des Black Panthers pourchassées par le FBI. Tourner politiquement un film. Le montrer politiquement. Le diffuser politiquement. C’est long et difficile. C’est résoudre chaque jour un problème concret. »
A la fin de l’année dernière, la jeune Palestinienne de seize ans, Ahed Tamimi, a été arrêtée au cours d’un raid nocturne de la police frontalière. Traduite en justice devant un tribunal militaire, elle a été reconnue coupable d’au moins 12 chefs d’inculpation. Sur décision du juge militaire, son procès se déroule à huis clos, loin des cameras. Son délit ? Le 15 décembre elle a giflé deux soldats lourdement armés qui s’étaient introduits dans le jardin de la maison parentale. L’incident s’est déroulé une heure après que son cousin de quatorze ans ait été frappé d’une balle dans la tête.
Suprême délit d’opinion Olivier Mukuna· mardi 10 janvier 2017 Cher Dyab, J’ai envie de t’écrire ces quelques lignes car ce n’est pas depuis hier que ta diabolisation politico-médiatique me dérange. Des jours de prison que tu as subi à l’initiative du “grand démocrate” Guy Verhofstadt (2003) jusqu’à cette polémique sur ton soutien à la résistance … Lire la suite
Chers Indiens d’Amérique, Bien que nous soyons de couleurs, religions, cultures et contrées différentes, j’ai découvert, avec les protestations de Standing Rock, que nous avions beaucoup plus de choses en commun que de différences. Quand je lis votre histoire, je puis nous y voir reflétés, mon peuple et moi. Je sens au fond de mon … Lire la suite