La négrophobie et l’islamophobie constituent ensemble les piliers fondamentaux du racisme d’État en Belgique.
Il faut le dire : le MR est une passerelle idéologique vers l’extrême droite.
La suprématie blanche est présente partout, des marges des groupuscules fascistes aux fauteuils confortables des salons politiques. Ce cancer, qu’on croyait contenu, est devenu métastase. La Belgique, avec son histoire coloniale barbare et jamais assumée, ne pouvait y échapper. Alors que les élites continuent de détourner le regard, les idées racistes s’installent dans le langage quotidien du pouvoir. Et Georges-Louis Bouchez, avec le Mouvement Réformateur qu’il a droitisé jusqu’à la moelle, en est un des artisans les plus zélés.
Soutien au Comité Zone Midi contre les violences policières.
#Répression #Plainte #Police
Soutien au Comité Zone Midi contre les violences policières.
Chez Bruxelles Panthères, nous savons ce que ça signifie d’être poursuivi pour avoir osé dénoncer l’injustice. L’histoire récente nous rappelle que les tentatives de criminalisation des luttes antiracistes et contre les violences policières ne sont pas des faits isolés, mais des stratégies systématiques d’intimidation, voire de persécution, pour faire taire celles et ceux qui réclament justice et dignité.
Pour la fin du racisme d’État et de la police.
Justice Pour Baudouin
Pieds nus dans l'avion, Baudouin a été débarqué de force et blessé par la police
Je suis traumatisé”. Le 4 décembre, Baudouin monte dans un avion vers Kinshasa, mais il n’arrivera pas à destination. Avant le décollage, il est débarqué de force par la police belge. Résultat : une main plâtrée, une vision trouble et un sentiment de peur. Baudouin dénonce un usage disproportionné de la force des policiers et du racisme de la part de l’équipage de Brussels Airlines.
Au moins 89 personnes sont mortes cette année en voulant traverser la Manche. Des tentatives de plus en plus risquées, aggravées par la répression policière.
1er janvier 2025 Épisode n° 11
Photo Édouard Bride/Hans Lucas Édité par Lucile Sourdès-Cadiou
À chaque plage son cadavre recraché par la Manche. Ces dernières semaines se sont multipliées sur la Côte d’Opale les alertes relatives à la découverte d’une dépouille rejetée par la mer. Le 21 décembre, un corps, entier mais en état de grande décomposition, a été trouvé par un riverain sur la plage de Wimereux, dans le Pas-de-Calais, non loin de l’école de voile. Un mois plus tôt, c’est un promeneur qui en repérait un autre, méconnaissable après un long séjour dans l’eau, sur la plage de Quend, au nord de la baie de Somme. Le même scénario s’est reproduit à de nombreuses reprises dans le Pas-de-Calais dernièrement : le 12 novembre à Wissant, le 17 novembre à Marck, deux fois à Calais les 6 et 14 novembre, ainsi qu’à Sangatte, au pied des falaises ivoires du cap Blanc-Nez, les 2 et 14 novembre. Si on ajoute les quatre corps repêchés au large de Calais les 5 et 6 novembre, celui retrouvé le 8 décembre en mer à hauteur d’Escalles et, enfin, la dépouille récupérée à proximité du port de Douvres, côté britannique, le 5 décembre, ce sont en tout quatorze cadavres qui ont été rendus par la Manche, la plupart dans un état de décomposition avancée, depuis début novembre. La majorité des corps retrouvés sont liés à des naufrages de « small boats » tentant de rejoindre l’Angleterre, en particulier un, survenu le 23 octobre et dont le bilan humain officiel, qui faisait état de trois morts, a été largement sous-estimé.
Les premiers bilans de la nuit du Nouvel An à Anderlecht mettent en lumière l’inefficacité flagrante de l’ordonnance du Bourgmestre Fabrice Cumps
Pour une sécurité véritable et une justice sociale à #Anderlecht : Stop à la criminalisation de notre jeunesse
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