Mandela est mort. Pourquoi cacher la vérité sur l’apartheid?

1480500_10152070996110861_1220450389_nTexte de Fidel Castro

Mandela est mort. Pourquoi cacher la vérité sur l’apartheid?

« Aucun évènement passé ou présent dont je me souvienne ou dont j’aie entendu parler n’a jamais suscité un tel impact sur l’opinion publique mondiale que la mort de Mandela » assure le leader historique de la Révolution cubaine, Fidel Castro dans une nouvelle réflexion.

19/12/2013

 

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D’où vient le symbole du poing levé?

Avec la mort de Mandela, c’est un symbole des luttes d’émancipation qui entre dans l’histoire. Ou plutôt qui fait son come-back. – Le 11 février 1990. REUTERS/Paul Velasco –                   Nelson Mandela restera associé au geste du bras levé avec le poing serré, un signe qui l’accompagne … Lire la suite

La cartographie du pouvoir colonial

« La cartographie du pouvoir colonial », avec le professeur Ramon Grosfoguel, du département d’études ethniques de l’Université de Berkeley. Il proposera une analyse globale de la matrice du pouvoir colonial / impérial ou comment aborder les questions économiques, l’écologie, la race, le genre avec une lecture décoloniale ? 30 novembre 2013

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Assata Shakur parle depuis l’exil

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La militante noire américaine Assata Shakur est mal connue, voire inconnue en France. Dans une interview accordée en 1997 à Christian Parenti, un journaliste et sociologue états-unien, et publiée en mars 1998 dans Z Magazine sous le titre « Assata Shakur speaks from exile. Post-modern maroon in the ultimate palenque », elle revient sur sa trajectoire politique, sur l’expérience de la traque policière et de la prison, sur son évasion puis son exil à Cuba. La traduction de cet entretien vise à faire connaître Assata Shakur en France, et à travers elle un pan occulté du mouvement de libération noir, en rendant accessibles en français des textes courts : entretiens, lettres ouvertes, témoignages.

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« Nous ne voulons plus être les tirailleurs sénégalais d’aucune cause ! »

Quelle couleur sont les blancs

 

 

 

 

par Sadri Khiari

Nous mettons en ligne ci-dessous un entretien donné par Sadri Khiari, co-fondateur du PIR, à Thierry Leclère et publié dans « De quelle couleur sont les Blancs », un ouvrage collectif paru aux éditions La Découverte en automne dernier.

 

 

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Convergence avec nous-mêmes

Déclaration commune Brigade Anti Négrophobie, PIR
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Nos organisations se sont réunies samedi 6 juillet 2013 dans le cadre d’un séminaire de travail qui a été l’occasion d’une discussion politique intense sur la nécessité d’une convergence articulée à la prise en charge assumée des contradictions qui traversent et structurent le monde de l’immigration post-coloniale.
L’originalité de cette rencontre est qu’elle a rassemblé exclusivement des groupes non blancs, issus de l’immigration et des quartiers, parfaitement autonomes (des pouvoirs publics et des organisations politiques de gauche comme de droite) et qui fondent leur action principalement contre le racisme d’Etat et le racisme impérialiste.
Ce processus de « convergence avec nous-mêmes » est lui-même le fruit d’un travail en commun de plusieurs années. Nous souhaitons le poursuivre et lui donner un contenu politique plus substantiel, voire organisationnel 

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Échec de la tentative de coup d’ État

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Échec de la tentative de coup d’Etat, suivi de Nuit de cristal au Venezuela
 

Nous vous proposons ici deux articles contenant des éléments nouveaux que David Pujadas risque d’oublier de porter à votre connaissance de citoyen libre disposant d’une presse libre.

Le premier est de notre ami Thierry Deronne et le second de Romain Migus, deux journalistes amis du GS, en poste à Caracas.
LGS.

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A propos de paroles ardentes et de rêves rebelles : l’insurrection indigène (Rebelion)

Luis MARTINEZ ANDRADE

Le 1er janvier 1994, dans le sud-est mexicain, un groupe d’indigènes, le visage recouvert d’un passe-montagne et armés de fusils rustiques, défiait le gouvernement et l’armée du Mexique. Ils réclamaient la terre, du travail, un toit, de la nourriture, la santé, l’éducation, la liberté, l’indépendance, la démocratie et la justice pour les 56 ethnies de la République. La nouvelle d’un soulèvement populaire dans le coin le plus pauvre du pays faisait l’effet d’une douche froide autant sur la classe politique que sur les élites patronales, car à cette époque, l’information qui faisait la une des principaux média était la si fameuse entrée du Mexique dans la «  modernité » à travers la signature du Traité de Libre Echange. En plus de souligner une relation asymétrique entre deux pays faisant partie du G8 et leur homologue mexicain, ce traité avait pour objectif la consolidation du modèle néolibéral. C’est pour cette raison que le mouvement néo-zapatiste faisait irruption sur la scène politique afin de dénoncer la comédie néfaste et abjecte préparée par le président de l’époque : Carlos Salinas (du Parti Révolutionnaire Institutionnel, PRI).

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