Ce militant autochtone et prisonnier politique amérindien, a été libéré le 18 février après 49 ans d’incarcération. « Je suis enfin libre ! Ils m’ont emprisonné, mais ils n’ont jamais pris mon esprit ! » a déclaré Leonard Peltier à sa sortie de prison. Ajoutant « Je remercie tous ceux qui m’ont soutenu dans le monde entier et qui se sont battus pour ma libération. Je rentre enfin chez moi. J’ai hâte de revoir mes amis, ma famille et ma communauté. C’est une belle journée aujourd’hui ». Leonard a rejoint sa tribu indienne Chippewa de Turtle Mountain et résidera sur ses terres dans le Dakota du Nord.
La campagne pour ramener Mumia à la maison
Une récente visite en prison du prisonnier politique Jamil Al-Amin par l’écrivain Arun Kundnani a révélé une situation déchirante de négligence médicale malveillante de la part des responsables de la prison du Bureau fédéral des prisons de l’Arizona. Voici ce qu’Arun Kundnani a rapporté sur l’état de santé du frère Al-Amin et un dépliant d’appel à l’action à la fin :
Dark Gothic MAGA : Elon Musk, la néoréaction et l’esthétique du cyberfascisme
Norman Ajari
Le 20 janvier 2025, lors de la cérémonie d’investiture de Donald Trump à la présidence des États-Unis, le multimilliardaire Elon Musk a sidéré le monde en ponctuant son discours décousu et hébété de deux saluts fascistes pleins de franchise et de détermination. Musk n’est pas seulement un homme d’affaires et un politicien : il travaille activement à devenir une figure de la culture populaire, un personnage, voire une icône. Ce sieg heil survient après des mois de tentatives peu subtiles de séduire les gamers aussi bien que les jeunes néofascistes de l’alt-right. Quelle est la signification culturelle et historique de son geste ?
Les politiques migratoires inhumaines de l’Union européenne
La vieille Europe applique la politique migratoire de fermeture des frontières de l’extrême-droite, alors que les études indiquent que ses économies ont besoin de les ouvrir
15 janvier par Fátima Martín
Beaufs et Fanfares
Beaufs et Fanfares
Introduction
Le 11/12 janvier dernier, des camarades français.e.s réfléchissaient aux étroits chemins à emprunter pour allier les beaufs et les barbares (aka Bourgs et Tours). Au même moment, le film « En Fanfare » dépassait les 2.000.000 d’entrées. Quel rapport !?
Beaufs et Barbares (1) , c’est le titre du livre de Houria Bouteldja et dans le même temps, le nom donné à un projet politique « révolutionnaire » visant la création d’un bloc politique entre blanc.he.s et Non Blanc.he.s des « classes populaires (2) ». Dans la France 2025, ce projet politique relève quasi de la science-fiction. De son côté, le film « En Fanfare » a beau être une fiction, il décrit et défend une alliance bien réelle entre les beaufs Blancs et la Blanche bourgeoisie.
Theo Francken et Georges-Louis Bouchez : deux jumeaux politiques au service d’un projet raciste et suprémaciste.
La négrophobie et l’islamophobie constituent ensemble les piliers fondamentaux du racisme d’État en Belgique.
Gaza : La résistance vit, les portes de la prison s’ouvrent – Sur la voie de la libération et du retour
La résistance, avec le plus grand honneur, le plus grand dévouement et le plus grand amour de la Palestine, a lutté sans relâche pour défendre le peuple palestinien – et l’humanité toute entière — contre les forces sionistes/impérialistes génocidaires.
Mouhad a raison : « J’emmerde la suprématie blanche ». Et nous aussi.
Face à l’horreur croissante de la montée de l’extrême droite et de la normalisation des idées de suprématie blanche dans le discours politique, notamment au sein du #MR, nous, militants antiracistes, affirmons haut et fort notre opposition à ces idéologies nauséabondes et dangereuses.
Nous dénonçons vigoureusement la plainte déposée par Nadia Geerts contre Mouhad, un militant antiraciste qui n’a fait que proclamer une vérité : « J’emmerde la suprématie blanche ».
L’importance de l’esclavage dans l’Atlantique pour l’économie des Pays-Bas au XVIIIe siècle

Pendant longtemps, les historiens néerlandais ont considéré a priori que l’importance de l’esclavage dans l’Atlantique pour l’économie des Pays-Bas avait été marginale. Dans un article publié le 26 juin 2019 dans la revue d’histoire économique et sociale néerlando-flamande TSEG / Low Countries Journal of Social and Economic History, les auteurs montrent que cette supposition est erronée.