Par Samah Jabr
L’arrivée au pouvoir de Donald Trump a marqué un tournant pour la Palestine, non pas parce qu’il a été le premier président américain à se ranger du côté de l’agression israélienne, mais parce qu’il l’a fait sans détour.
Son administration a abandonné les façades diplomatiques, encourageant Israël à agir avec encore plus d’impunité tout en signalant au monde que la souffrance des Palestiniens ne justifiait même plus une préoccupation rhétorique.
Avec Trump, le masque a été arraché, révélant la réalité crue et sans honte de la complicité des États-Unis dans les crimes d’Israël.