La dévastation à Gaza n’est pas seulement un génocide, mais aussi un écocide : la destruction délibérée de tout un tissu social et écologique. Des sols contaminés et des terres agricoles décimées à l’effondrement des réseaux hydrographiques et aux mers saturées de déchets, l’attaque israélienne révèle combien la violence coloniale est indissociable des atteintes à l’environnement. Reliant la lutte palestinienne à la lutte mondiale contre le capitalisme fossile et l’impérialisme, cette analyse soutient que la justice climatique est impossible sans la libération palestinienne.