Interview de John Perkins auteur du livre :
Les confessions d’un assassin financier
Intervention de John Perkins vostfr par qsdfgh84
Confessions d’un assassin économique de John Perkins, un livre datant de 2005, à lire pour comprendre les dessous de certaines révolutions arabes récupérées….Le système permettant des guerres d’intérêt, la déstabilisation des pays, le changement de gouvernance et de dictature, l’appauvrissement des peuples, et le rapt de la démocratie est le même..
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John Perkins, histoire secrète de l’empire américain pdf
John Perkins, tueur économique repenti :
entretien 2007 avec Amy Goodman, en français
7 mars 2005 Pour: Les lecteurs de Confessions d’un tueur à gages économique Re: La véracité de John Perkins Comptes Fr: Steven Piersanti, président et éditeur, Berrett-Koehler Publishers, Inc
http://www.economichitman.com/pix/veracitymemo.pdf
7. De nombreux ouvrages et études ont soutenus principales allégations de Jean de la corruption, les excès, les déchets, de prêts, la fraude, le pillage et le blanchiment d’argent dans le développement international des entreprises. Voir, par exemple, Sleeping with the Devil: Comment Washington vendu notre âme pour le brut saoudien, par Robert Baer; l’intérieur du Mirage: Partenariat de l ‘Amérique fragiles avec l’Arabie saoudite, par Thomas Lippman; Les banques de sang: Les Contes de l’Economie Global Underground , par James S. Henry, la crise de la dette globale: Participation de l ‘Amérique en croissance, par John H. Makin; Surexposition: banques américaines face à la crise de la dette du Tiers-Monde, par Raul Madrid; Débâcle de développement: La Banque mondiale aux Philippines, en Walden Bello, D. Kinley, et E. Elinson; Rêves global: sociétés impériales et le Nouvel Ordre Mondial, par Richard J. Barnet et John Cavanagh, American Dynasty: Aristocratie, fortune, et la politique de tromperie dans la maison de M. Bush, par Kevin Phillips, Globalization and Its Discontents, par Joseph Stiglitz, One World, Ready or Not: The Logic of Global Capitalism Manic, par William Greider, lorsque Corporations Rule the World, par David Korten, et l’affaire contre l’économie mondiale, édité par Jerry Mander et Edward Goldsmith.
Ces livres et bien d’autres – ainsi que des centaines d’articles et d’études – ont fourni une documentation complète sur les allégations principales dans Confessions d’un tueur à gages économique. Par exemple, voici certaines des conclusions publiées dans un article paru dans le Mars / Avril 2004 de Across the Board, qui est la revue officielle de l’organisation de l’entreprise de prestige, Le Conference Board. Cet article, intitulé «Où est passé l’argent: Comment avez-Pays en développement Wind Up Grâce 2,5 billions de dollars », a été un extrait de L’Association des banquiers de sang, qui offre un soutien de recherches approfondies et bien documentées pour les principales allégations de Jean:
Le fait est que les portraits conventionnels de la crise du développement mondial sont des contes de fées des économistes. Ils quittent le sang et les tripes de ce qui s’est réellement passé – tous les gains des privatisations, des prêts frauduleux, les projets intentionnellement gaspillage, le marché noir « aller-retour» des transferts, les ventes d’armes, traite d’initiés, et l’opération en arrière-scènes de la le réseau bancaire mondial des paradis qui a facilité tout cela et plus encore. Ils ignorent le fait que dans le milieu des années 1970, et de nouveau dans le milieu des années 1990, des avertissements répétés de gros problèmes ont été ignorés: surabondance irresponsables, des projets mal conçus et les privatisations, faux dos à dos les prêts, le pillage pur et simple de la banque centrale réserves, et fuite massive de capitaux
Les banques de sang, James S. Henry: format
Le blog de l’auteur
Confessions de John Perkins, ancien barbouze de l’empireConfessions de John Perkins, ancien barbouze des multinationales de l’empire étasunien. Il nous éclaire sur la réalité de la « main invisible » du commerce économique mondial ainsi que sur les véritables mécanismes des décisions politiques de la planète. Le système en place (pour combien de temps encore ?) aura fait tout le mal qu’on peut imaginer, ça ne lui aura pas évité la débâcle actuelle… et ni Nike, ni McDonald’s ou Coca-Cola ne pourront plus grand-chose pour nous refaire rêver… Leurs responsabilités comme donneurs d’ordre de massacres, pollutions et prédations en tout genre pour le profit immédiat d’un petit nombre que John Perkins nomme la « corporocratie », sont explicitées par des exemples précis.