La Belgique face à l’interception criminelle de la flottille Global Sumud »

Nous n’accepterons plus !

 La Belgique face à l’interception criminelle de la flottille Global Sumud »

Nous, organisations, collectifs et citoyen·ne·s antiracistes et décoloniaux, adressons ce communiqué à la population belge, aux responsables politiques et aux institutions diplomatiques nationales. Nous nous exprimons aujourd’hui non pas comme des observateur·rice·s lointain·e·s mais comme des acteurs et actrices politiques solidaires des vies humaines menacées à Gaza, et des citoyen·ne·s belges présent·e·s sur la flottille Global Sumud. Ce qui se joue en mer aujourd’hui — l’interception, le harcèlement, la privation de secours humanitaire — n’est pas un simple épisode militaire : c’est l’illustration tragique d’une politique de blocus et de déni qui porte atteinte à la dignité, à la vie et au droit international.

Au cours des dernières heures, la flottille internationale Global Sumud — composée d’une quarantaine de navires et d’environ 500 personnes issues de plus de quarante pays — a fait état d’actions d’intimidation et d’interception par des bâtiments non identifiés que des témoins et des images attribuent aux forces navales israéliennes. Les participants rapportent des manœuvres dangereuses, des perturbations de leurs communications, et des tentatives de prise en charge de certains navires, mettant en danger des civils et humanitaires présents à bord. Parmi les personnes sur la flottille figurent des parlementaires, des journalistes et des citoyen·ne·s européen·ne·s — y compris des ressortissant·e·s belges — pour lesquels des gouvernements européens, dont la Belgique, ont été sollicités pour protection et assistance consulaire.

Ce 01 octobre, vers 20h30 heure, plusieurs navires de la flottille Global Sumud, notamment l’Alma, le Sirius et l’Adara, ont été illégalement interceptés et abordés par les forces d’occupation israéliennes dans les eaux internationales. Outre les bateaux dont l’interception est confirmée, la retransmission en direct et les communications avec plusieurs autres navires ont été brutalement interrompues. La flottille a publié un communiqué intitulé : « La flottille mondiale Sumud interceptée » pour alerter l’opinion internationale.

Ces bateaux transportent des civils, des humanitaires, des élu·e·s et des journalistes, dont des ressortissant·e·s belges. Ils ne transportaient pas des armes mais une cargaison politique : celle de la solidarité internationale avec Gaza, prison à ciel ouvert soumise à un blocus génocidaire. Leur seul crime est d’avoir voulu briser ce mur d’apartheid maritime.

Sur le plan du droit international, la situation s’inscrit dans un cadre clair : la Convention de 1948 sur le génocide définit le « génocide » et impose aux États la prévention et la répression de ce crime, tandis que le corpus du droit international humanitaire — conventions de Genève et jurisprudence pertinente — protège la population civile et interdit les mesures qui infligent des privations de moyens de subsistance, qui causent une déportation forcée, ou qui établissent des conditions de vie destinées à détruire un groupe en tout ou en partie. Des organismes académiques de référence, dont l’International Association of Genocide Scholars (IAGS), ont déclaré que les actes commis à Gaza depuis octobre 2023 répondent aux critères juridiques du génocide, appelant à un arrêt immédiat des pratiques qui produisent la famine, la destruction des moyens de survie et la déportation de masse. La reconnaissance et l’action politique ne sont pas des discours abstraits : elles relèvent d’obligations juridiques et morales.

Pourquoi la Belgique est politiquement et moralement complice si elle n’agit pas.

La Belgique dispose d’outils juridiques, diplomatiques et économiques pour agir : protection consulaire effective, sanctions ciblées, suspension des coopérations militaires et académico-culturelles, et reconnaissance politique. Le fait qu’une flottille internationale avec des citoyen·ne·s belges se fasse intercepter à quelques centaines de milles marins de Gaza — dans des eaux où le droit de la mer prévoit des protections pour les civils et le transport humanitaire — exige une réaction belge proactive. L’inaction ou les déclarations molles face à des violations potentielles du droit international ne sont pas indifférence neutre : elles sont complicité par omission. Plusieurs centaines de personnalités et figures publiques en France et en Belgique ont déjà demandé la protection consulaire et l’intervention des gouvernements concernés ; ces demandes doivent être entendues et suivies d’actes.

Nous formulons ici des demandes politiques, précises, claires et immédiatement exécutables. Elles visent à traduire la solidarité en actes et à rompre la connivence qui permet l’impunité.

  1. Fermeture immédiate de l’ambassade d’Israël à Bruxelles.

L’ambassade d’un État accusé de crimes contre l’humanité ne peut continuer à faire fonction de représentation normale tant que ces crimes persistent et que l’État concerné refuse toute enquête indépendante et toute suspension de ses pratiques militaires qui portent atteinte aux civils. Cette mesure vise à rompre la légitimation diplomatique et à envoyer un signal politique fort.

  1. Convocation et blâme public de l’ambassadeur d’Israël.

L’ambassadeur doit être convoqué au ministère des Affaires étrangères, publiquement interpellé et sanctionné diplomatico-politique­ment pour toute déclaration officielle qui relativiserait ou justifierait l’usage de la force contre des civils et des humanitaires. La parole publique d’un représentant étranger a une responsabilité : la Belgique doit exiger qu’elle respecte les normes internationales.

  1. Suspension immédiate et complète de toute coopération militaire, policière et de renseignement avec Israël.

Aucune coopération qui pourrait faciliter des opérations navales, des interceptions ou des transferts d’information permettant la répression de civils ne peut être tolérée tant que des garanties indépendantes et vérifiables d’absence de violations ne sont pas mises en place.

  1. Suspension de toute coopération économique, académique et culturelle permettant la légitimation diplomatique.

Les relations institutionnelles (programmes universitaires, échanges culturels, aides bilatérales, projets de recherche) deviennent des vecteurs de normalisation. La Belgique doit rompre ces coopérations.

  1. Reconnaissance politique immédiate du génocide en cours et mobilisation de tous les leviers (juridiques, diplomatiques, économiques).

La Belgique doit utiliser ses voies diplomatiques pour demander et soutenir devant les institutions internationales : enquêtes indépendantes, saisine du Conseil de sécurité, soutien aux procédures à la Cour pénale internationale et au rôle du procureur, sanctions ciblées contre les responsables civils et militaires identifiés.

  1. Sanctions concrètes, y compris unilatérales si nécessaire, ciblant les individus et entités responsables.

Les sanctions doivent être graduées, sectorielles et viser les décideurs, les fournisseurs d’équipements militaires, les entreprises impliquées dans l’occupation, et les entités bancaires facilitant les transferts liés aux opérations militaires.

7.             Nous exigeons du gouvernement belge qu’il agisse immédiatement pour garantir l’acheminement de l’aide humanitaire à Gaza, en mettant en place – avec d’autres États et via l’Union européenne – un corridor officiel qui brise le blocus illégal imposé par Israël.

Ces mesures ne sont pas des caprices rhétoriques : elles s’inscrivent dans une stratégie politique et juridique cohérente visant à protéger la vie humaine et à restaurer un minimum de droit et de dignité. Elles répondent à l’urgence de la situation et à l’obligation de prévenir les crimes internationaux.

Au-delà des mesures immédiates, nous demandons une stratégie publique et durable :

Mise en place d’un comité parlementaire d’enquête sur les relations bilatérales Belgique-Israël depuis 2000, portant sur la coopération militaire, les ventes d’armes, les formations policières et les projets universitaires cofinancés.

Création d’un fonds d’aide d’urgence pour les Palestinien·nes vivants en Belgique, accessible sans condition administrative.

Ces propositions s’inscrivent dans une logique d’État de droit et de responsabilité démocratique : la politique étrangère doit être soumise à des contrôles et à la transparence, surtout lorsque des vies sont en jeu.

Appel à la société civile belge

  • Nous appelons l’ensemble des forces sociales, syndicats, organisations étudiantes, associations des droits humains, et citoyen·ne·s à :
  • Exiger de nos parlementaires des prises de position publiques et l’ouverture de motions contraignantes.
  • Soutenir juridiquement les victimes et les témoins, et documenter les violations par des collectifs d’enquête indépendants.

La Belgique peut et doit reprendre la main sur sa politique étrangère : elle n’a pas à se contenter d’être spectatrice quand ses citoyen·ne·s sont menacé·e·s et quand l’ordre international est bafoué.

Nous pouvons pointer la responsabilité des dirigeants. Mais soyons honnêtes : le silence, c’est aussi le nôtre.

Chaque fois que nous détournons le regard, que nous nous contentons de déclarations indignées sans exiger d’actes, que nous laissons nos responsables politiques agir comme si de rien n’était, nous renforçons cette complicité.

Le problème n’est pas seulement « là-bas », il est ici. Dans nos choix, nos votes, notre passivité. Sommes-nous prêts à accepter d’être les spectateurs d’un génocide ?

Que peut vouloir dire agir ?

Agir, ce n’est pas seulement descendre dans la rue une fois. C’est se demander ce que chacun·e peut faire pour interrompre la normalité de cette complicité.

Les syndicats peuvent réfléchir : peut-on travailler comme si de rien n’était, quand nos impôts financent des armes, quand nos ports et aéroports servent à la logistique de la guerre ?

Les universités peuvent s’interroger : à quoi servent nos savoirs, si nous collaborons encore à des recherches avec ceux qui fabriquent des bombes ?

Les citoyen·ne·s peuvent se demander : quelle est la valeur de nos vies confortables si elles reposent sur l’indifférence au massacre d’autres vies ?

Nous ne donnons pas de recettes toutes faites. Nous ne disons pas : « faites ceci, faites cela ».

Nous disons : ouvrez les yeux, interrogez vos vies, vos choix, vos institutions.

Car un bateau intercepté dans les eaux internationales, ce n’est pas seulement une attaque contre des passager·e·s. C’est une mise en accusation de notre monde, de nos États, de nos consciences.

Et la question, celle qui reste suspendue, est simple :

jusqu’où accepterons-nous de regarder ailleurs ?

La dignité avant la realpolitik

Nous n’acceptons plus qu’on normalise l’inacceptable. Il ne s’agit pas de jouer la surenchère : il s’agit de poser des actes conformes au droit, à l’éthique et à l’humanité. La fermeture d’une ambassade, la suspension de coopérations, la reconnaissance politique d’un crime ne sont pas des gestes symboliques vides ; ce sont des leviers matériels et juridiques qui peuvent faire la différence entre la vie et la mort, entre l’impunité et la responsabilité. La Belgique a des obligations internationales et des marges de manœuvre. Qu’elle les utilise, maintenant.

Signataires : 

  1. Saidi Nordine, Bruxelles Panthères & Mouvement Citoyen Palestine
  2. Mouhad Reghif, Bruxelles Panthères & Mouvement Citoyen Palestine
  3. Daniel Vanhove, Observateur, Auteur, Mouvement Citoyen Palestine
  4. Malika Hamri, citoyenne, Tayyâr Magazine
  5. Julia Galaski, membre du Collectif des Madrés et de l’UPJB
  6. Ait Ahmed Lahcen, citoyen
  7. Milady Renoir, poétesse anti-impérialiste
  8. Marianne VL Koplewicz, Éditrice
  9. Issam Matchikh, Psychiatre
  10. Nathalie Preudhomme, , enseignante, Mouvement Citoyen Palestine
  11. Khalid Derouich, Mouvement Citoyen Palestine
  12. Ylva Berg, citoyenne, Resilience Movement
  13. Olivier Martin, citoyen de Saint-Gilles
  14. François Clarinval, Dramaturge
  15. Lucie Cauwe, journaliste
  16. William Donni, travailleur social et citoyen engagé
  17. Hicorne Michèle, signataire en tant que citoyenne belge
  18. Abdoulaye Hama Aminata
  19. Viejo Zapico Nadia, je signe en tant que citoyenne
  20. Amélie Daems, citoyenne
  21. Marianne Stasse
  22. Marie Darah citoyen•ne engagé•e
  23. Hélène Giustizia citoyenne engagée
  24. Laetitia Gruau
  25. Elias Preszow, membre de l’Union des Progressistes Juifs de Belgique (UPJB)
  26. Camille Weale, citoyenne
  27. Paola Stévenne, Réalisatrice
  28. Laurence Nazé, citoyenne engagée et militante du droit à une vie digne pour toustes
  29. Dorothée Van Biesen, plasticienne et enseignante
  30. Cherifi Toufik, citoyen
  31. Julie Menuge, Artiste / Designer / Textile / Mode
  32. Camille Bakkali
  33. Jenifer Rodriguez, citoyenne (dégoûtée et effrayée)
  34. Faïza Hirach, militante syndicale antiraciste
  35. Jeanne Dandoy, citoyenne engagée
  36. Alexis Julémont, citoyen
  37. Audrey Marsin, citoyenne
  38. Zoubida Mouhssin, citoyenne
  39. Camille de monge, citoyenne
  40. Eve Jadot, citoyenne
  41. Sara Selma Dolorès, metteuse en scène et comédienne
  42. Olivier Bony, acteur
  43. Didier Devriese, thérapeute et chercheur à l’ULB
  44. Véronique Clette-Gakuba, Docteure en sociologie UMons-ULB
  45. Milou Carlier, citoyenne
  46. Nicha Mbuli, citoyenne antiraciste
  47. Céline Beigbeder, citoyenne
  48. Silvia Guerra, citoyenne
  49. Anne Piccin, citoyenne
  50. Cécile Goossens, citoyenne
  51. Nadia Echadi, enseignante et citoyenne solidaire
  52. Sébastien Bury, citoyen
  53. Anne-Cécile Vandalem, directrice artistique DAS FRAULEIN KOMPANIE
  54. Julie Goldsteinas, citoyenne
  55. Tatiana Bohm, citoyenne
  56. Virginie Dubois, collectif citoyen de l’Entre Sambre et Meuse : Esem4Palestine
  57. Pierrick De Luca, citoyen
  58. Gabor Tverdota, citoyen engagé
  59. Cecile Guypen, citoyenne solidaire
  60. Pascale Assoignon, citoyenne ordinaire, membre du Gang des vieux en colère de Couvin et du collectif ESEM4Palestine
  61. Anne Marsaleix, citoyenne engagée
  62. Marie-Laurence Squevin, citoyenne engagée et membre du Gang des Vieux en colère de l’Entre-Sambre et Meuse
  63. Pascale Corbeel, citoyenne
  64. Céline Laffineur, citoyenne engagée
  65. Nancy Stauft, citoyenne
  66. Laurence Meessen, citoyenne engagée
  67. Leila, collectif « La Bonne Poire » (collectif anti-patriarcal bruxellois)
  68. Alice Lopez, citoyenne
  69. Gilles Delfosse, citoyen
  70. Laïla Boulbayem, citoyenne
  71. Benoît Hale, citoyen
  72. Solenne Fierens, citoyenne
  73. Laurence Vielle, citoyenne
  74. Valter Lurlaro, citoyen
  75. Carline ALBERT, citoyenne
  76. Saleha Ammi, Plateforme Charleroi Palestine
  77. Stéphanie Marlière, citoyenne et assistante sociale
  78. Luc Malghem, auteur
  79. Alice Michelle, citoyenne engagée
  80. Franceschi Sandrine, citoyenne engagée
  81. Vella Marie-Rose, Réalisatrice, animatrice 2D/3D, artiste vidéo, infographiste multimédia, citoyenne engagée contre le génocide palestinien
  82. Aline Fernande, citoyenne
  83. Ghislaine Weissgerber, citoyenne
  84. Walgraeve Corinne, citoyenne
  85. Isabelle Stengers, philosophe
  86. Brigitte Challande citoyenne engagée, autrice depuis Octobre 2023 des chroniques quotidiennes « Gaza Urgence Déplacé.e.s »
  87. Suzanna Bauer, citoyenne
  88. Ludovic Barth pour la Clinic 0rg@sm Society
  89. Etienne Mathot, citoyen
  90. Alain Loriaux, citoyenne
  91. Jules Ernoux, citoyen
  92. Sarah Avril, citoyenne
  93. Laila Errahmouni, citoyenne
  94. Laurette Vankeerberghen, citoyenne
  95. Guillermo Kozlowski, Philosophe
  96. Pauline Fonsny, réalisatrice
  97. Maroussia Toungouz Névessignsky, membre de l’UPJB
  98. Thierry Müller, retraité activiste, ex-comédien et acteur du secteur culturel
  99. Cécile Rugira, militante féministe et anti raciste
  100. Sève I.V. Janssen, Auteure et directrice de BNA-BBOT
  101. Céline Squevin, citoyenne
  102. Marolito, artiste
  103. Laurie-Anne Vanbléricq, Coordinatrice de la CCTA, chambre des compagnies de théâtre adulte
  104. Natalie Rigaux, Professeure émérite UNamur
  105. Nolwenn De Couesnongle, citoyen
  106. David Jamar, sociologue UMons
  107. Renaud-Selim Sanli est éditeur et libraire chez Météores
  108. Léïla Duquaine, citoyenne
  109. Doulo Kandé, citoyen
  110. Coline Geisen, citoyenne
  111. Florent, Le Collectif Wow !
  112. Florent Barat, citoyen engagé
  113. Frederique Dolphijn, citoyen
  114. Ayoub Matchchikh, étudiant
  115. Marge Fauvelle, démographe
  116. Nicole Grégoire, collaboratrice scientifique ULB
  117. Julien Vanhove
  118. Micheline Cleeremans
  119. Nikita Imambajev, fondateur d’Alohanews
  120. Benjamin Grognard, bénévole chez Alohanew
  121. Sandrine Thonon, Agent d’accueil CPAS et citoyenne engagée
  122. Samantha Smith Vicat, citoyenne
  123.  Esther Kouablan, militante
  124. Pierre Huyghebaert, enseignant, graphiste
  125. Sara Tassi, citoyenne
  126. Louisa Kara, citoyenne
  127. Raphaëlle Bruneau, comédienne
  128. Marie-Chantal Misson, Gang de l’Entre Sambre et Meuse
  129. Vincent Liben, musicien
  130. Nathalie Vanderlinden, citoyenne
  131. Azhar Reghif, citoyenne et juriste
  132. Thierry Decuypere, enseignant Faculté d’architecture de l’ULB
  133. Clara Gatugu, citoyenne engagée
  134. Mirko Drag Popovitch
  135. Eve Giordani, citoyenne engagée
  136. Géraldine Brausch, enseignante et citoyenne
  137. Bilal.Robin Meerbergen, citoyen
  138. Bernard Dutrieux, Travailleur social – Conseiller CPAS
  139. Ahmed Frassini, journaliste – PAL CLUB – BELGIQUE
  140. Christine Pierard, citoyenne défendant les droits humains
  141. Jonathan Ficapal Gallego, citoyen
  142. Elise Delhaise, Citoyenne belge
  143. Mia De Vos
  144. Emilie Martens
  145. Alexis Zimmer – Historien, ULiège
  146. Marge Fauvelle, Démographe
  147. Marie France Deprez, Citoyenne -Schaerbeek
  148. Loubna Berger
  149. Delphine Beaumont
  150. Nathanael Fulleringer
  151. Daphné Twiesselmann, citoyenne engagée
  152. Lermusiaux Monique, Citoyenne pensionnée militante syndicale
  153. Barbara Beuken, militante pour la culture et les droits humains, psychologue
  154. Margaretha Piette, 1050 Ixelles, citoyenne belge et kinésithérapeute à la retraite
  155. Juliette Callebaut, citoyenne et artiste engagée
  156. Aït Jeddig Fatima, citoyenne
  157. Henri Van Nieuwenhoven, citoyen belge
  158. Stephanie Pierard, citoyenne
  159. Yasmine Kassari
  160. Sophie Picard
  161. Annabelle Giudice, citoyenne enragée
  162. Mohamed Msaddaq
  163. Denis Toisoul, citoyen
  164. Youssef El Hamraoui, citoyen engagé
  165. Mahdiya El-Ouial
  166. Bouzian Hannan, citoyenne belge et juriste
  167. Marc Mawet, architecte, professeur ULB
  168. Jérôme Branders, citoyen
  169. Maria Lagana, citoyenne engagée
  170. Pauline Dujardin, Travailleuse sociale communautaire
  171. Guillaume Périlleux, économiste UMons
  172. Alessandra Barzini citoyenne engagée
  173. Anne Mortiaux, citoyenne
  174. Marlier Rose
  175. Olivier Bourez, Atelier Matador Factory
  176. Othman Faysal, citoyen engagé
  177. Verbist Léna, citoyenne
  178. Eva Rousseau, artiste de théâtre
  179. Silke Van Herrewegen, Solidaire Moeders van Brussel
  180. Hélène Marcelle, citoyenne
  181. Nina Welcomme
  182. Pierre Deruisseau, citoyen engagé
  183. Anne Vandermeulen, citoyenne
  184. Jean-Noël Delplanque, Militant syndical
  185. Dominique Verhaeren, citoyenne activiste
  186. Eve Bonfanti, Compagnie La Fabrique Imaginaire
  187. Yves Hunstad, Compagnie La Fabrique Imaginaire
  188. Vella Graziella. Anthropologue UMons
  189. Tristan Jospin, artiste et citoyen engagé
  190. Miguel Huenaert
  191. Xavier Lelion, architecte
  192. Marie-Anne Delahaut, Collectif Gaza-Palestine.org
  193. Quentin Nicolaï, citoyen engagé
  194. Crickx Carine Fatima
  195. Jeanne Galet
  196. Ines Moudib, citoyenne
  197. Léa Dalibard, citoyenne
  198. Valérie Van Soens, citoyenne engagée pour la paix
  199. Sarah Vandecasteele, Psychologue
  200. Athane Adrahane, philosophe, citoyenne
  201. Leawsane, parolier militant et artiste peintr
  202. Youri Mora, membre de l’Union des Progressistes Juifs de Belgique
  203. Samira Agebly, citoyenne
  204. Mhammed El Moudni
  205. Sandrine Eloy, citoyenne
  206. Deborah Kupperberg, fonctionnaire féministe
  207. Upraity Mandakini, citoyenne engagée
  208. Anne-Sophie Costenoble
  209. Yoan Cecco
  210. Nakaa Radhia, citoyenne
  211. Laurence Lamisse, citoyenne engagé
  212. Brausch Marie Paule, citoyenne
  213. Boubekeur Asma
  214. Chalal Louiza
  215. Delporte Jacques
  216. Huenaerts Miguel
  217. Dehaen Michèle, militante syndicale et féministe
  218. Sbaï Tangi
  219. Olivia Lemmens, citoyenne
  220. Maïa Chauvier
  221. Daniel Linze
  222. Cedric D. Tolley, sociologue
  223. Nadia Boumazoughe, citoyenne
  224. Gilles Smedt, citoyen
  225. Lisou De Henau, citoyenne
  226. Nawal Lamrani
  227. Marieaurore d’awans

Organisations :

  • Bruxelles Panthères
  • Librairie Météores
  • Collectif Esem4Palestine
  • Chambre des Compagnies de Théâtre Adulte ( CCTA )
  • Resilience Movement
  • « La Bonne Poire »
  • Plateforme Charleroi Palestine
  • Mouvement Citoyen Palestine
  • Collectif « Ni Jumet Ni Ailleurs »
  • Collective Les Sous-Entendu•es
  • Collectif Bruxelles Bagarre Club
  • Medeber Teatro
  • Palestine Solidarity Network – Collectif de travailleur.euses au sein de la VUB militant pour le boycott académique d’Israël
  • La Collective Cargo X asbl
  • POUR (www.pour.press)
  • Le Collectif #avectoigaza des Équipes Populaires Luxembourg
  • Humanity Call For Palestine
  • Action Palestine Namur
  • Zonneklopper asbl
  • IRRUPTION Media (asbl)
  • asbl Hope Forever
  • Arc Culture Asbl
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30 réflexions au sujet de “ La Belgique face à l’interception criminelle de la flottille Global Sumud »”

  1. Bonjour,

    Merci pour votre engagement et pour tout ce que vous faites.
    Je joins volontiers ma signature à cet appel.

    D’avance merci,

    Sandrine Eloy, citoyenne

    Répondre
  2. Tout notre soutien et sympathie pour les courageuses personnes qui ont accompagné la flotilla pour casser l’embargo que l’entité sioniste impose aux palestiniens sur toute la terre de la Palestine

    Répondre
  3. Il y vas de votre DEVOIR comme représentant de la Belgique de défendre les citoyens de la flotille qui son venu PACIFIQUEMENT
    REAGISSER BON SANG

    Répondre
  4. C est inacceptable,inadmissible que ce soit disant gouvernement soit complice et
    Continue a conclure des affaires avec ses BARBARES DE SIONISTE.
    Et qu il continuent a envoyer des arme.
    Est t il normale qu une employée de la commission EUROPEENNE ce permet de brandir un drapeau Israëlien
    Alors qu il ce passe un GENOCIDE ET QUE SES MINABLES ET LACHES AFAME TOUTE UNE POPULATION
    J EXIGE en tant que citoyenne
    Des actions concrètes et immédiates
    Sachez que le peuple ne lâcheras RIEN
    Vous êtes responsables et coupable par votre innaction

    Répondre
  5. Nous sommes asbl Hope Forever aide aux réfugiés, migrants, sans-abri, sans-papiers et toutes autres personnes vulnérables. En collaboration avec organisation Palestine Refugees For Dignity aussi organisateur de la Flotilla.

    Répondre
  6. Nous sommes arrivés au point de non retour, toute la confiance du peuple auprès du gouvernement est désormais comprise.
    Il est grand temps que l Etat prenne ses responsabilités au plus vite.
    La rue est en colère.
    Citoyenne

    Répondre
  7. Etre complice, par le silence, d’un génocide mondialement connu est-il possible pour moi ? Non. A moins de ne plus pouvoir me regarder dans le miroir de l’histoire.
    Merci à tous ceux qui ont le cran de bouger, mettre en place des actions, secouer les consciences… en nous associant à votre combat, vous nous permettez de ne pas rester des monstres

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