Affaire Hicham B. Zriouil :
l’appel d’un père pour son fils

La liberté, la justice et l'égalité, par tous les moyens nécessaires ! Malcolm X

Témoignage d’une amie québécoise partie à la rencontre du moment « Occupy Wall Street »
Résonances impressives … rapporter-traduire-transposer, quelque chose qui se trame sous le présent, la singularité d’une langue commune qui s’invente par plis, par localisations capacitances, par re/dé-prises. A chaque fois essayer de rendre compte qu’il se passe quelque chose et non pas rien, quelque chose qui traverse …
M.V.


J’enrage. Pasionaria est mise à toutes les sauces. La « pasionara du gouvernement », la « pasionaria des stades », « la pasionaria… Voici l’histoire de Dolores Ibarruri, la véritable, la seule Pasionaria.

La révolte syrienne est elle influencée de l’extérieur ? Oui, sans doute. Mais dans quelle proportion ? Toute la question est là ! Comment ne pas voir que quatre-vingt dix pour cent du soulèvement en cours n’a pas grand chose à voir avec les visés de l’Emir du Qatar et de ses alliés (…)
Documentaire sur les anciens mineurs marocains immigrés dans le Nord-Pas-de-Calais en France

« Les obsèques de notre frère Mouloud Aounit auront lieu jeudi 16 août à 15h15 au cimetière d Aubervilliers 52 rue Charles Tillon.
Merci de faire tourner et de venir nombreux pour lui rendre hommage. »
Mahmoud Darwich (en arabe : محمود درويش), né le 13 mars 1941 à Al-Birwah en Galilée (Palestine sous mandat britannique) et mort le 9 août 2008 à Houston (Texas, États-Unis), est une des figures de proue de la poésie palestinienne.
Avec Ramzi Aburedwan et les musiciens de Dal’Ouna, le jeune chanteur palestinien Oday Khatib, des musiciens angevins, l’intervention de Kwal pour le Slam …
"Femmes de la rue". Oui, mais lesquelles? Lettre ouverte à nos élu-e-s.
Mesdames, Mesdemoiselles et Messieurs les Échevines et Échevins bruxellois,
Mesdames, Mesdemoiselles et Messieurs les Bourgmestres bruxellois,
Mesdames, Mesdemoiselles et Messieurs les Députées et Députés bruxellois,
Mesdames, Mesdemoiselles et Messieurs les Ministres bruxellois,
En féministes, nous fûmes enthousiasmées par la célérité des réactions qui suivirent la diffusion du documentaire « Femmes de la rue » réalisé par Sophie Peeters, étudiante en dernière année de la Haute École flamande Rits.
En effet, il ne s’en est pas fallu de quelques heures pour que les un-e-s et les autres d’entre vous ne condamnent fermement insultes et « harcèlements de rue » que subiraient les femmes dans le quartier bruxellois d’ Anneessens. Et que vous vous engagiez dans des projets de discussion parlementaire, de législation sur le sujet, ou encore dans des actions sur le terrain.
C’était d’autant plus enthousiasmant pour nous que, concernant le sort des femmes, depuis quelques années, nous n’entendions de votre part que de tristes nouvelles : par exemple, celle nous faisant comprendre qu’elles seraient les premières à être sacrifiées sur l’autel de l’austérité.
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Il faudrait vraisemblablement commencer toute énonciation associant les termes « femme » et « islam », par la déconstruction de la pertinence d’un tel sujet. Traiter de la question de « la femme en islam », s’interroger aujourd’hui sur « le statut » des femmes musulmanes est le fruit d’une élaboration historique. On ne s’interroge pas aussi fréquemment sur les « femmes dans le judaïsme », on ne voit pas écrit ici et là le thème des « femmes en chrétienté ». Or, il est certain qu’il ne s’agit ni de la nature des Textes sacrés juifs et chrétiens, et encore moins des conditions de vie des femmes chrétiennes et juives qui varient considérablement selon qu’elles vivent au Nord ou au Sud. Dès lors, il saute aux yeux que seules les musulmanes sont désignées par leur religion, c’est-à-dire qu’on impute à l’islam une influence fondamentale sur leur condition de vie.