«Ce qui se passe dans les prisons n’est pas humain»
Depuis le 17 avril, 2000 prisonniers palestiniens mènent une grève de la faim. Ils exigent la fin du régime de détention administrative qui permet de maintenir un détenu indéfiniment en prison sans que lui soit notifié la moindre charge et demandent une modification de leurs conditions d’enfermement (fin des mesures d’isolement, des mauvais traitements, des humiliations à l’encontre des visiteurs, de l’interdiction des visites pour les familles de Gaza…).