Les politiques migratoires inhumaines de l’Union européenne

La vieille Europe applique la politique migratoire de fermeture des frontières de l’extrême-droite, alors que les études indiquent que ses économies ont besoin de les ouvrir

15 janvier par Fátima Martín

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Mon Fanon par Norman Ajari

Conversion infernale

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Theo Francken et Georges-Louis Bouchez : deux jumeaux politiques au service d’un projet raciste et suprémaciste.

La casquette « Make Flanders Great Again » portée par Theo Francken n’est pas un simple clin d’œil provocateur au trumpisme. C’est une déclaration de guerre contre les Noirs, Arabes, Musulmans, Rroms, migrants et sans-papiers. Ce slogan importé des États-Unis, où il a servi à réactiver les pires instincts de la suprématie blanche, devient sous les mains de Francken un outil de marketing politique visant à séduire un électorat blanc nostalgique d’une Flandre imaginaire, épurée de toute altérité. Mais cette entreprise raciale n’est pas l’apanage de la N-VA. Son jumeau francophone, Georges-Louis Bouchez, porte, sous le masque du libéralisme républicain, un programme similaire : défendre une Belgique blanche, capitaliste et impitoyable envers les populations racisées.
Francken et Bouchez : nationalisme flamand et pseudo-universalisme libéral.

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La négrophobie et l’islamophobie constituent ensemble les piliers fondamentaux du racisme d’État en Belgique.

En Belgique, il est tout simplement incohérent, hypocrite, et fondamentalement impossible de se revendiquer antiraciste ou de prétendre adopter une posture décoloniale sans mener une lutte frontale et radicale contre la négrophobie.

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Gaza : La résistance vit, les portes de la prison s’ouvrent – Sur la voie de la libération et du retour

La résistance, avec le plus grand honneur, le plus grand dévouement et le plus grand amour de la Palestine, a lutté sans relâche pour défendre le peuple palestinien – et l’humanité toute entière — contre les forces sionistes/impérialistes génocidaires.

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Il faut le dire : le MR est une passerelle idéologique vers l’extrême droite.

La suprématie blanche est présente partout, des marges des groupuscules fascistes aux fauteuils confortables des salons politiques. Ce cancer, qu’on croyait contenu, est devenu métastase. La Belgique, avec son histoire coloniale barbare et jamais assumée, ne pouvait y échapper. Alors que les élites continuent de détourner le regard, les idées racistes s’installent dans le langage quotidien du pouvoir. Et Georges-Louis Bouchez, avec le Mouvement Réformateur qu’il a droitisé jusqu’à la moelle, en est un des artisans les plus zélés.

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Mouhad a raison : « J’emmerde la suprématie blanche ». Et nous aussi.

Face à l’horreur croissante de la montée de l’extrême droite et de la normalisation des idées de suprématie blanche dans le discours politique, notamment au sein du #MR, nous, militants antiracistes, affirmons haut et fort notre opposition à ces idéologies nauséabondes et dangereuses.

Nous dénonçons vigoureusement la plainte déposée par Nadia Geerts contre Mouhad, un militant antiraciste qui n’a fait que proclamer une vérité : « J’emmerde la suprématie blanche ».

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L’importance de l’esclavage dans l’Atlantique pour l’économie des Pays-Bas au XVIIIe siècle

Par Pepijn Brandon & Ulbe Bosma, traduit par Jean-Philippe Riby
2 octobre 2019  6 min. temps de lecture  Le passé colonial

Pendant longtemps, les historiens néerlandais ont considéré a priori que l’importance de l’esclavage dans l’Atlantique pour l’économie des Pays-Bas avait été marginale. Dans un article publié le 26 juin 2019 dans la revue d’histoire économique et sociale néerlando-flamande TSEG / Low Countries Journal of Social and Economic History, les auteurs montrent que cette supposition est erronée.

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Souffrance Indigène, Blanche compassion

EVERY WHITEY LOVES LOJKINE
Souffrance Indigène, Blanche compassion

Ces dernières semaines, le dernier film de Boris Lojkine, « L’Histoire de Souleymane », a suscité bien des éloges. Le spectateur accompagne le quotidien éreintant de Souleymane, un jeune Guinéen sans papiers vivant à Paris : il livre des repas à vélo, prépare un entretien crucial avec l’OFPRA (Office français de protection des réfugiés et apatrides), maintient difficilement le contact avec sa mère et son amoureuse restées en Guinée. Il partage également de très rares et brefs moments de complicité avec d’autres livreurs sans papiers.

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