La vieille Europe applique la politique migratoire de fermeture des frontières de l’extrême-droite, alors que les études indiquent que ses économies ont besoin de les ouvrir
15 janvier par Fátima Martín
La liberté, la justice et l'égalité, par tous les moyens nécessaires ! Malcolm X
15 janvier par Fátima Martín
Conversion infernale
La résistance, avec le plus grand honneur, le plus grand dévouement et le plus grand amour de la Palestine, a lutté sans relâche pour défendre le peuple palestinien – et l’humanité toute entière — contre les forces sionistes/impérialistes génocidaires.
La suprématie blanche est présente partout, des marges des groupuscules fascistes aux fauteuils confortables des salons politiques. Ce cancer, qu’on croyait contenu, est devenu métastase. La Belgique, avec son histoire coloniale barbare et jamais assumée, ne pouvait y échapper. Alors que les élites continuent de détourner le regard, les idées racistes s’installent dans le langage quotidien du pouvoir. Et Georges-Louis Bouchez, avec le Mouvement Réformateur qu’il a droitisé jusqu’à la moelle, en est un des artisans les plus zélés.
Face à l’horreur croissante de la montée de l’extrême droite et de la normalisation des idées de suprématie blanche dans le discours politique, notamment au sein du #MR, nous, militants antiracistes, affirmons haut et fort notre opposition à ces idéologies nauséabondes et dangereuses.
Nous dénonçons vigoureusement la plainte déposée par Nadia Geerts contre Mouhad, un militant antiraciste qui n’a fait que proclamer une vérité : « J’emmerde la suprématie blanche ».
Pendant longtemps, les historiens néerlandais ont considéré a priori que l’importance de l’esclavage dans l’Atlantique pour l’économie des Pays-Bas avait été marginale. Dans un article publié le 26 juin 2019 dans la revue d’histoire économique et sociale néerlando-flamande TSEG / Low Countries Journal of Social and Economic History, les auteurs montrent que cette supposition est erronée.
EVERY WHITEY LOVES LOJKINE
Souffrance Indigène, Blanche compassion
Ces dernières semaines, le dernier film de Boris Lojkine, « L’Histoire de Souleymane », a suscité bien des éloges. Le spectateur accompagne le quotidien éreintant de Souleymane, un jeune Guinéen sans papiers vivant à Paris : il livre des repas à vélo, prépare un entretien crucial avec l’OFPRA (Office français de protection des réfugiés et apatrides), maintient difficilement le contact avec sa mère et son amoureuse restées en Guinée. Il partage également de très rares et brefs moments de complicité avec d’autres livreurs sans papiers.