Dissident Voice
mer., 27 mar. 2013 04:05 CDT
Plus de 11 ans après l’ouverture de ce bagne sur le territoire cubain occupé par l’Amérique, il reste quelque 166 prisonniers qui vivent dans un monde cauchemardesque de détention illimitée.
La liberté, la justice et l'égalité, par tous les moyens nécessaires ! Malcolm X
Plus de 11 ans après l’ouverture de ce bagne sur le territoire cubain occupé par l’Amérique, il reste quelque 166 prisonniers qui vivent dans un monde cauchemardesque de détention illimitée.
Rédaction en ligne
FSM de Tunis : Déclaration de l’Assemblée des mouvement sociaux |
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Nous, réunies et réunis lors de l’Assemblée des mouvements sociaux du Forum social mondial 2013 à Tunis affirmons l’apport capital des peuples du Maghreb-Mashrek (du Nord d’Afrique jusqu’au Moyen Orient) dans la construction de la civilisation humaine. Nous affirmons que la décolonisation des peuples opprimés reste pour nous, mouvements sociaux du monde entier, un grand défi à relever.
Mesdames et Messieurs les Parlementaires, allez-vous voter sans rien dire ? Allez-vous accepter de ratifier un Traité qui va plonger les citoyens dans la précarité, le chômage et l’exclusion sociale ? Allez-vous condamner sans broncher celles et ceux qui vous ont élus, et toute la population en général, à un avenir pourri ? Ouvrez les yeux, refusez d’obéir, rejetez le Traité budgétaire européen. Et nous, citoyennes, citoyens, agissons !
Mettons la pression sur nos représentants afin qu’ils ne signent pas un texte en totale contradiction avec les intérêts de la population.

Cette grève de la faim, qui entre dans sa 7ème semaine sur l’enclave cubaine, est « sans précédent par son ampleur, par sa durée et par sa détermination« , a expliqué à l’AFP David Remes, l’avocat de 15 détenus de Guantanamo, tous grévistes.

Le travail en prison : hors-la-loi ?
Mis en ligne le 08/10/2009
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Le travail est toujours accordé comme une faveur, qui peut être retirée à tout moment. Il n’est en grande partie disponible que selon l’offre du marché privé. L’actuelle surpopulation carcérale ne fait qu’aggraver la situation de manière dramatique.
Le 1er janvier 1994, dans le sud-est mexicain, un groupe d’indigènes, le visage recouvert d’un passe-montagne et armés de fusils rustiques, défiait le gouvernement et l’armée du Mexique. Ils réclamaient la terre, du travail, un toit, de la nourriture, la santé, l’éducation, la liberté, l’indépendance, la démocratie et la justice pour les 56 ethnies de la République. La nouvelle d’un soulèvement populaire dans le coin le plus pauvre du pays faisait l’effet d’une douche froide autant sur la classe politique que sur les élites patronales, car à cette époque, l’information qui faisait la une des principaux média était la si fameuse entrée du Mexique dans la « modernité » à travers la signature du Traité de Libre Echange. En plus de souligner une relation asymétrique entre deux pays faisant partie du G8 et leur homologue mexicain, ce traité avait pour objectif la consolidation du modèle néolibéral. C’est pour cette raison que le mouvement néo-zapatiste faisait irruption sur la scène politique afin de dénoncer la comédie néfaste et abjecte préparée par le président de l’époque : Carlos Salinas (du Parti Révolutionnaire Institutionnel, PRI).

Sur le dernier livre du sociologue Saïd Bouamama.
Ce livre est le fruit d’un travail mené par Zouina Meddour (chargée de mission, « lutte contre les discriminations ») et Saïd Bouamama (sociologue) avec un groupe de femmes des quartiers populaires du Blanc-Mesnil qui s’expriment à la première personne.
« Nous sommes près d’une trentaine, d’origines plurielles, et avons de trente à soixante-quinze ans. Nous venons des quatre coins de la ville de Blanc-Mesnil et sommes représentatives de l’ensemble de sa population. »
Ces rencontres menées durant deux ans ont abouti à l’écriture collective d’un livre sur leurs conditions de vie, leurs propositions pour sortir de l’impasse des discriminations…