Considérant que la France est l’un des pays où ce racisme progresse le plus. Prenant prétexte de la lutte contre le terrorisme, de la laïcité, des droits des femmes, ou de la défense des « valeurs de la République », les expressions de l’islamophobie foisonnent dans toutes les sphères de la société et notamment dans les champs politique, médiatique et intellectuel.
Échec de la tentative de coup d’ État
Nous vous proposons ici deux articles contenant des éléments nouveaux que David Pujadas risque d’oublier de porter à votre connaissance de citoyen libre disposant d’une presse libre.
Le premier est de notre ami Thierry Deronne et le second de Romain Migus, deux journalistes amis du GS, en poste à Caracas.
LGS.
Les militants maliens opposés à l’intervention française doivent pouvoir venir en France s’exprimer !
Aminata Traoré (ancienne ministre démissionnaire de la culture du Mali, initiatrice de l’appel des Femmes du Mali contre la guerre), a été invitée à Paris pour exposer ses prises de position contre l’intervention française au Mali, lors d’une réunion publique prévue le 22 avril à l’AGECA et intitulée « Non à la guerre au Mali ! Retrait des troupes ! ».
Lors du Forum Social Mondial de Tunis, elle déclarait en effet : « La guerre qui a été imposée aujourd’hui au Mali n’est pas une guerre de libération du peuple malien, mais une guerre de pillage des ressources. Je regrette que nombre de militants se trompent de défi en soutenant une guerre qui est une guerre de positionnement pour une ancienne puissance coloniale ».
Aminata Traoré, qui s’est vue accorder un visa pour se rendre à Berlin du 17 au 19 avril, a été informée par l’ambassade d’Allemagne que la France a empêché l’obtention d’un visa pour tous les pays Schengen.
Comment ne pas faire le lien entre les convictions politiques d’Aminata Traoré et le fait qu’elle soit persona non grata en France ?
Il faut mettre fin au « nettoyage ethnique » dont sont victimes les musulmans rohingyas
« Le gouvernement birman s’est livré à une campagne de nettoyage ethnique contre les Rohingyas, qui se poursuit à ce jour à travers le refus de l’accès à l’aide humanitaire et l’imposition de restrictions à leur liberté de circulation. Le gouvernement devrait mettre fin immédiatement à ces exactions et faire rendre des comptes à leurs auteurs, s’il veut éviter de porter lui-même la responsabilité de futures violences contre des minorités ethniques et religieuses dans ce pays. »
Phil Robertson, directeur adjoint de la division Asie à Human Rights Watch
Sur les jeunes volontaires pour la Syrie – 23 avril 2013
Communiqué du parti Égalité sur les jeunes volontaires pour la Syrie – 23 avril 2013 « Oui, c’est vrai, tu es né à la mauvaise époque », disait une maman à son fils, deux semaines avant qu’il ne parte pour la Syrie. Depuis l’école maternelle, les jeunes volontaires pour la Syrie ont grandi dans un monde dominé … Lire la suite
La solidarité internationale avec la Palestine : quelques remarques personnelles
La solidarité internationale avec la Palestine :
quelques remarques personnelles (d’une activiste palestinienne)
Après la découverte récente sur Facebook d’une page de solidarité intitulée « International Community to save Palestine » (Communauté internationale pour le sauvetage de la Palestine) qui, en ce moment, affiche plus de 8.000 « j’aime », il est temps une fois de plus de reconsidérer les problèmes soulevés par la solidarité internationale avec la lutte palestinienne. Bien que les personnes « aimant » la page puissent être armées de bonnes intentions, le terme « sauvetage » présente nombre de connotations dangereuses et ne devrait être admis en aucun cas. Depuis le début même de l’activisme international, il y a toujours eu une ligne nette entre la solidarité et la victimisation et ce, tout particulièrement quand il s’agit de la cause palestinienne.
70e anniversaire du soulèvement du ghetto de Varsovie
70e anniversaire du soulèvement du ghetto de Varsovie : La résistance légitime
Brian Anglo 18 avril 2013
Le ghetto juif de Varsovie a été créé par les troupes nazies qui ont occupé la Pologne en octobre 1939. Trois années plus tard, sur les 400.000 personnes qui y ont habité, seules 60.000 ont survécu aux déportations dans des camps d’extermination, aux assassinats, aux exécutions et aux maladies. C’est pourtant dans cette parcelle de Varsovie, dans ce minuscule territoire entièrement quadrillé que s’est produite l’une des premières révoltes massives contre l’occupation nazie de l’Europe : le soulèvement du 19 avril 1943, mené par l’Organisation Juive de Combat (qui rassemblait plusieurs groupes politiques de gauche, sionistes et antisionistes). Malgré le rapport de forces terriblement disproportionné et le manque criant d’armes et de munitions, les combats se poursuivirent jusqu’au 16 mai 1943. Sur les 50.000 Juifs encore en vie en avril 1943, seuls 500 parviendront à s’échapper de l’enfer et à peine 200 d’entre eux verront la fin de la guerre. Nous reproduisons à l’occasion du 70e anniversaire du soulèvement une traduction d’un texte de Brian Anglo, membre de JUNTS (association catalane des Juifs et des Palestiniens). (Avanti4.be)
Palestinian Prisoners Day (Brussels)
COMMUNIQUE D’ADDAMEER POUR LA JOURNEE DES PRISONNIERS PALESTINIENS : https://www.facebook.com/AddameerAssociation?fref=ts
(traduction française. Texte original en anglais en comm).
En l’honneur de la Journée des prisonniers Palestiniens, Addameer confirme qu’il est désormais temps de tenir l’occupation responsible de ses crimes à l’encontre des prisonniers et détenus, et lance une campagne internationale contre la detention administrative.
Honte à ceux qui font de l’antisémitisme leur fond de commerce !
Honte à ceux qui font de l’antisémitisme leur fond de commerce !
Des officines zélées (CRIF, BNVCA* …) ont pris l’habitude de dégainer instantanément pour faire taire toute critique de la politique israélienne.
Une propagande bien rodée