Un entretien avec Oum Maryam, la femme de Nizar Trabelsi
« Madame la Ministre, ne prenez pas mon mari en otage… »
La liberté, la justice et l'égalité, par tous les moyens nécessaires ! Malcolm X
« Madame la Ministre, ne prenez pas mon mari en otage… »
Nordine, convoqué à la police pour avoir relayé une vidéo sur Facebook
Nordine S. est poursuivi pour diffamation à l’encontre de Caroline Fourest.
Bonnes feuilles de « Race et capitalisme », éd. Syllepse
Ce que pourrait être une gauche antiraciste
par Félix Boggio Éwanjé-Épée et Stella Magliani-Belkacem
Lorsque l’on souhaite envisager la question raciale dans une perspective matérialiste et critique en France, on se trouve dans un embarras théorique qui n’est pas dissociable d’une situation politique. Si de nombreux et de nombreuses acteurs et actrices du paysage des politiques d’émancipation s’accordent sur une opposition abstraite au racisme, ce dernier enjeu est bien celui qui donne à voir le plus de confusion dans la gauche intellectuelle et politique, toutes traditions confondues.
Le lendemain du jour où le Parlement égyptien a été dissous par la Cour Constitutionnelle, de fait sur ordre du Conseil suprême des forces armées, le Département d’état étasunien est entré en lice, garantissant que le Conseil s’est engagé à transférer le pouvoir, le 1er juillet, au président élu. Washington assure que, pendant toute la « transition à la démocratie » en Egypte, il est resté en contact étroit avec le Conseil militaire suprême. Personne n’en doute : l’administration Obama a décidé il y a trois mois de reprendre le financement des forces armées égyptiennes, suspendu par le Congrès quand certains employés d’organisations non-gouvernementales étasuniennes avaient été arrêtés pour avoir financé en sous-main, avec des millions de dollars, divers groupes égyptiens dans le cadre des « programmes d’entraînement à la démocratie ».
Extrait du livre Dictionnaire des dominations
par Collectif Manouchian
5 juin 2012
Depuis que les relations de domination existent, les dominés se sont insurgés pour les abolir et les dominants se sont évertués à les justifier. Le combat du vocabulaire, des théories explicatives de la réalité, des grilles de lectures des faits sociaux, fait ainsi partie des luttes sociales. La déconstruction des mots, concepts et argumentaires qui accompagnent les dominations est une nécessité pour abolir celles-ci. Le Dictionnaire des dominations que vient de publier le collectif Manouchian se veut une contribution aux combats contre les dominations de sexe, de race et de classe qui caractérisent notre société en s’articulant de manière systémique. Nous en publions ici un extrait, dans lequel deux paradigmes portant un implicite inégalitaire sont critiqués : l’assimilation et l’intégration.
Égalité s’oppose à l’interdiction de Sharia4Belgium (S4B),
la déchéance la nationalité et les extraditions,
même si nous ne partageons en rien sa vision de la société.
Dans le climat général d’islamophobie et de racisme qui s’aggrave chaque jour, voici que les autorités menacent d’interdire S4B et de déchoir certains de ses membres belgo-marocains de la nationalité belge.
“ Sans pardon ”. C’est le thème de la nouvelle campagne, très polémique, du Vlaams Belang. Une campagne qui incite, un nouvelle fois, à la haine, baignant dans les amalgames les plus simplistes. Et ces affiches se retrouvent sur des façades de maisons aux alentours de Bruxelles. Les habitants n’apprécient guère.
De rellen in Molenbeek de voorbije dagen doen terugdenken aan de woelige periode 10 jaar geleden in Borgerhout. Toen bracht Abou Jahjah duizenden jongeren op de been, na de moord op een islamleraar.
Het Belgische boerkaverbod is strijdig met de vrijheid van religieuze expressie. Het is ook buiten proportie als je kijkt naar
het geringe aantal ‘onderdrukte boerkadraagsters’.